Trois malentendus sur les fichiers CODA pour le B2B

De plus en plus d’entreprises, grandes et petites, cherchent à se défaire de la tâche fastidieuse qu’est le traitement manuel des extraits bancaires. Les fichiers CODA, leur version numérique, peuvent être la solution, avec un gain de temps et une réduction du risque d’erreurs à la clé. Sans compter qu’il est très aisé de les obtenir.

Pourtant, les fichiers CODA ne sont pas suffisamment connus ou aimés. Une enquête menée par Isabel 6 auprès de ses clients a révélé que moins de 30 % des entreprises belges les utilisent à l’heure actuelle. Alors même que presque tous les progiciels de comptabilité et d’ERP permettent de les lire et donc de dématérialiser les extraits bancaires. Qu’est-ce qui les empêche de franchir le pas ? Trois facteurs principaux expliquent ce blocage.

« Ces quatre dernières années, le nombre de clients utilisant Isabel 6 et les fichiers CODA a augmenté de plus de 10 %. »

1. La force de l’habitude

« On ne change pas une équipe qui gagne » : voilà la mentalité qui prévaut dans nombre de sociétés. Pourquoi abandonner une méthode qui fait ses preuves depuis des années ? Dans les petites entreprises, la remise des extraits bancaires correspond aussi, souvent, à un moment de vérification. En automatisant le processus, on craint de perdre un peu de contrôle. Ce qui n’est pourtant pas le cas : l’automatisation des paiements permet d’obtenir une vue d’ensemble à tout moment et en un coup d’œil.

2. Uniquement pour les grandes entreprises

Deuxième idée fausse qui a la vie dure : les fichiers CODA seraient uniquement utiles pour les grandes entreprises, qui effectuent de très nombreux paiements. C’est faux : ils sont aussi intéressants pour les volumes moins importants. Les fichiers CODA permettent de faire un lien, dans le progiciel de comptabilité, entre les données des opérations et les écritures ouvertes. Ainsi, plus de 90 % des imputations se font automatiquement. Le système ne requiert votre intervention qu’en cas de doute.

3. Le coût par rapport au volume

Le passage aux fichiers CODA suppose toutefois un petit investissement : certaines banques appliquent des frais de livraison et le fournisseur de votre logiciel facture souvent un supplément pour activer le module bancaire de votre logiciel de comptabilité. Mais ces frais sont rapidement amortis grâce à des gains d’efficacité, même pour les petites ou moyennes entreprises.

Étapes suivantes : les extraits bancaires dématérialisés sont-ils en progression ?

Malgré cette légère réticence, la situation évolue : ces quatre dernières années, le nombre de clients utilisant Isabel 6 et les fichiers CODA a augmenté de plus de 10 %. Une tendance que démontre le succès croissant de solutions telles que laCodaBox. Les jeunes entrepreneurs, en particulier, comprennent les avantages de la dématérialisation des extraits bancaires et de l’automatisation des traitements.

Ce qui s’inscrit d’ailleurs dans une autre tendance : les entreprises transfèrent des applications critiques telles que les progiciels de comptabilité et d’ERP vers le cloud. Grâce à de nouvelles solutions telles qu’Isabel Connect, il devient ainsi plus facile que jamais de récupérer tous les fichiers CODA via des API, chaque jour et de manière totalement automatisée. Soit dit en passant : les grandes entreprises qui souhaitent automatiser ces processus peuvent, elles aussi, profiter des API d’Isabel Connect.

Vous pouvez demander à obtenir les fichiers CODA des différentes banques belges où vous possédez des comptes très facilement et rapidement via la plateforme multibancaire Isabel 6, qui vous permet de régler toutes vos opérations bancaires en un tour de main.

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